Dernières actualités
Allocution
01 juin 2023
Célébration de la Journée de l'enfance 2023
Pour en savoir plus
Histoire
01 juin 2023
Rapport annuel des Nations Unies - Algérie 2022
Pour en savoir plus
Histoire
31 mai 2023
Journée Mondiale sans Tabac 2023 : cultivons durablement, stop au tabac
Pour en savoir plus
Dernières actualités
Les objectifs de développement durable en Algérie
Les objectifs de développement durable (ODD), également appelés objectifs mondiaux, constituent un appel universel à l'action visant à éliminer la pauvreté, à protéger la planète et à garantir à tous les peuples la paix et la prospérité. Ce sont aussi les objectifs de l'ONU en Algérie.
Agir
05 juin 2023
Le Volontariat au service de l’environnement
Un modèle dans le renforcement des capacités des jeunes en matière de la protection de l'environnement.
1 / 2

Agir
05 juin 2023
Projet pour la Réhabilitation et le Développement des Forêts de Chêne-liège en Algérie
Avec une production moyenne annuelle de 60 000 quintaux, l'Algérie occupe la 3ème position mondiale dans le domaine de la production de liège.
1 / 2

Histoire
01 juin 2023
Rapport annuel des Nations Unies - Algérie 2022
L’année 2022 a connu la signature du nouveau Cadre de Coopération pour le Développement Durable 2023-2027 qui constitue un événement majeur qui vient renforcer la relation de collaboration entre l'Algérie et le Système des Nations Unies (SNU). Cette étape importante témoigne de l'engagement commun à travailler de concert afin de construire un avenir durable, inclusif et prospère pour tous les Algériens. Ce cadre guidera la coopération entre le SNU et le Gouvernement Algérien au cours des cinq (05) prochaines années, en fournissant une feuille de route claire et ambitieuse.
Le rapport d'activité du SNU pour l'année 2022 a pour principal objectif de souligner les résultats obtenus et met en lumière les réalisations concrètes dans les domaines d'intervention couvrant les quatre (04) axes de coopération avec le Gouvernement algérien, à savoir la Diversification Économique, le Développement Social, la Bonne Gouvernance, l'Environnement. Par ailleurs, le rapport revient sur la réponse du SNU aux questions humanitaires de réfugiés et demandeurs d’asile.
Le rapport 2022, qui retrace la collaboration étroite entre les Nations Unies et le Gouvernement Algérien, témoigne de leur volonté conjointe de mettre en lumière les réalisations, les défis et les perspectives de l'année écoulée. Il représente une plateforme essentielle pour mettre en évidence les résultats tangibles obtenus par le Système des Nations Unies en Algérie, dans le cadre de la mise en œuvre du précédent Cadre de Coopération Stratégique 2019-2022.
Grâce à cette étroite collaboration entre le SNU et le Gouvernement Algérien, où le développement durable et le bien-être de tous les Algériens sont au cœur des priorités, cette dynamique de partenariat renforcé et la vision commune partagée à travers le Cadre de Coopération pour le Développement Durable 2023-2027, illustrent la volonté de bâtir un avenir meilleur pour l'Algérie, en harmonie avec les objectifs mondiaux de développement durable.
Pour consulter le rapport, cliquer ICI
1 / 5

Histoire
31 mai 2023
Journée Mondiale sans Tabac 2023 : cultivons durablement, stop au tabac
La Journée mondiale sans tabac, célébrée chaque année le 31 mai par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), est une occasion pour sensibiliser les populations aux dangers du tabagisme et promouvoir un mode de vie sans tabac. L’Algérie se joint à cette initiative mondiale en organisant diverses activités visant à informer les citoyens sur les liens entre le tabac.
Pour la célébration de la journée mondiale sans Tabac 2023, dont le slogan est : “cultivons des aliments pas du tabac” offre une occasion pour se rappeler non seulement des méfaits de cette culture sur la santé mais aussi sur les agriculteurs et la planète et met l'accent sur la nécessité de mobiliser les gouvernements pour mettre fin aux subventions accordées à la culture du tabac et pour soutenir la transition vers des cultures durables.
Le tabagisme a des répercussions néfastes sur l'environnement à plusieurs niveaux, la culture du tabac nécessite d'importantes quantités d'eau et de terres agricoles, qui pourraient être utilisées pour la production alimentaire. En outre, les pesticides et les engrais chimiques utilisés dans la culture du tabac peuvent polluer les sols et les sources d'eau et donc contribuent à la dégradation des sols et à la déforestation.
La production de cigarettes elle-même a également un impact environnemental considérable. En effet, chaque année, des milliards de mégots de cigarettes sont jetés dans la nature, polluant les océans, les rivières et les sols. Les mégots contiennent des produits chimiques toxiques tels que le mercure, le plomb et le cadmium, qui peuvent être nocifs pour les écosystèmes et la faune.
Selon les chiffres des enquêtes Global Youth Tobacco Survey (GYTS 2013), Global Adult Youth Tobacco Survey (GATS 2010), enquête STEPS pour la mesure des facteurs de risque des maladies non transmissible (2018) menées avec l’appui de l’OMS il Y’a un nombre total de plus de 4 millions de fumeurs en Algérie dont près de 300 000 sont des femmes (GATS OMS /Algérie 2010)
Dans son combat de lutte contre le tabac, L’Algérie s’est engagée, en ratifiant la Convention Cadre de l’OMS pour la Lutte Anti Tabac en juin 2006, à appliquer toutes les mesures nécessaires pour réduire la prévalence du tabagisme dans la population et ses conséquences sanitaires et économiques. Par ailleurs, l’Algérie a développé, avec l’appui de l’OMS un plan national multisectoriel de lutte contre les facteurs de risque des maladies non transmissibles 2015-2019, une stratégie nationale de sevrage tabagique 2017 et mis à disposition des professionnels des unités d’aide au sevrage tabagique des outils tels que le Publication d'un guide d'aide au sevrage tabagique sur lequel des formations sont dispensées.
Source :
Journée mondiale sans tabac 2023 – Cultivons des aliments, pas du tabac (who 15 / 03 / 2023)
1 / 5

Histoire
28 mai 2023
Cinq choses à propos de la santé mentale
Cependant, et selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la santé mentale ne se limite pas à l'absence de troubles mentaux. Elle varie d'une personne à une autre avec des degrés de difficulté différents. En voici 5 choses à savoir sur la santé Mentale :
Les troubles de la santé mentale écourtent la durée de vie :
En moyenne, les personnes atteintes de troubles mentaux graves tels que la schizophrénie et le trouble bipolaire décèdent prématurément de 10 à 20 ans par rapport à la population générale. Cette situation est principalement causée par des maladies évitables, comme les maladies cardiovasculaires, respiratoires et les infections, qui sont plus courantes chez les personnes atteintes de troubles mentaux. Bien que les troubles mentaux eux-mêmes ne soient pas nécessairement la cause directe de ces décès, ils jouent très probablement un rôle important dans leur survenue.
L’adolescence et la santé mentale :
Au niveau mondial, un adolescent sur sept âgé de 10 à 19 ans souffre d'un trouble mental, ce qui les rend particulièrement vulnérables à l'exclusion sociale, à la discrimination, à la stigmatisation, aux difficultés éducatives, aux comportements à risque et même aux problèmes de santé physique.
Pour répondre aux besoins sanitaires des adolescents, l'OMS a mis en place des stratégies, des programmes et des outils tels que l'initiative HAT (« Helping Adolescents ThriveHelping Adolescents Thrive » ou « aider les adolescents à s'épanouir »), une initiative conjointe de l'OMS et de l'UNICEF visant à renforcer les politiques et les programmes de santé mentale pour les adolescents.
Améliorer la santé mentale en milieux de travail
Améliorer la protection et la promotion de la santé mentale au travail implique plusieurs actions, notamment le renforcement des compétences du personnel d'encadrement pour détecter les problèmes de santé mentale et y répondre adéquatement. Pour ce faire, il est important de former les cadres aux questions de santé mentale, afin qu'ils soient mieux équipés pour percevoir les signes de détresse émotionnelle chez leurs subalternes et agir en conséquence. Il est également important de développer des compétences relationnelles telles que la communication ouverte et l'écoute active, de sensibiliser les travailleurs aux enjeux de santé mentale, et de mettre en place des interventions pour aider les individus à gérer le stress et à réduire les symptômes en cas de problème de santé mentale.
L'OMS est engagée dans l'amélioration de la santé mentale au travail et a défini des principes, objectifs et stratégies dans sa Stratégie mondiale pour la santé, l'environnement et les changements climatiques pour aider à garantir une bonne santé mentale sur le lieu de travail.
Un Plan d’Action Mondial :
En 2013, l'OMS a adopté un plan d'action mondial pour la santé mentale 2013-2030, dans lequel les États membres se sont engagés à atteindre des objectifs mondiaux visant à améliorer la santé mentale. Ces objectifs étaient axés sur l'amélioration du leadership et de la gouvernance, des soins communautaires, de la promotion et de la prévention, ainsi que des systèmes d'information et de recherche.
En 2019, l'OMS a lancé une Initiative spéciale pour la santé mentale (2019-2023) appelée "Couverture sanitaire universelle pour la santé mentale". Cette initiative avait pour objectif de fournir un accès à des soins mentaux de qualité et abordables à 100 millions de personnes supplémentaires dans 12 pays prioritaires.
L’Algérie et la santé mentale :
En 2017, dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de la santé mentale, l’Algérie a adopté le Plan National de Promotion de la Santé Mentale 2017-2020 en ligne avec le Plan d’action global pour la santé mentale 2013-2020. Ce plan est actualisé et approuvé par la soixante-quatorzième Assemblée mondiale de la Santé dans sa décision WHA74(14) pour la période allant jusqu’en 2030, tout en présentant des indicateurs et des options de mise en œuvre révisés ainsi que des cibles mondiales actualisées. Il continue de mettre l’accent sur la nécessité d’une approche portant sur toute la durée de la vie et sur la mise en œuvre de mesures visant à promouvoir la santé mentale et le bien-être de tous, à prévenir les problèmes de santé mentale chez les personnes à risque et à assurer la couverture universelle des soins de santé mentale. Ce plan comprend six axes visant à renforcer le cadre réglementaire, à promouvoir une approche de santé de proximité, à améliorer la formation et la recherche en santé mentale, à impliquer tous les acteurs du domaine et à mettre en place un système d'information et de communication en santé mentale. Pour sa mise en œuvre, un comite multisectoriel est mis en place afin d’assurer de répondre aux besoins de la population en matière de santé mentale dans tous ces aspects et pour tous.
L’Algérie a aussi mis en place un dispositif national d’appui psycho-social et santé mentale pour répondre aux besoins du personnels de sante et de la population en situation de crise et de catastrophe. Ce dispositif, dont l’ébauche est née durant la décennie noire traversée par le pays, s’est vu structurée, organisée et institutionnalise a l’occasion de la crise de la pandémie mondiale COVID-19. Ainsi, le dispositif est régi par un système de gouvernance avec des textes de lois et des instructions ministérielles qui ont permis d’identifier et de nommer des points focaux MHPSS a travers tout le territoire national, un programme de formation de ces derniers et des outils pédagogiques pour faciliter la mise en œuvre de leurs connaissances sur le territoire et harmoniser la prise en charge des personnes a u niveau de toutes les wilayates et das toutes les circonstances. Ce dispositif a fait ses preuves lors des incendies qui ont touche le pays durant deux etes de suite (2021 et 2022)
Depuis sa création en 1948, l'OMS a travaillé à promouvoir la santé dans le monde entier grâce à la prévention, au traitement et à la gestion des maladies et estime que la santé est un élément clé du développement durable.
Source :
Définition de la santé mentale selon l’OMS ( OMS 17 juin 2022 )
Les troubles de la santé mentale écourtent la durée de vie Les troubles de la santé mentale écourtent la durée de vie ( Rapport Mondiale sur la Santé Mondial e 2022 Page 3)
L’adolescence et la santé mentale (OMS 17 novembre 2021)
Améliorer la santé mentale en milieux de travaille (28 septembre 2022)
Un Plan d’Action Mondiale (OMS)
L’Algerie et la santé mentale (APS 10 Octobre 2017)
Article écrit par Nardjesse Rahmoune (VNU) avec la contribution de OMS Algérie.
1 / 5

Histoire
24 mai 2023
Séminaire sur le développement du réseau national de Centres d’appui à la technologie et à l’innovation (CATI)
L’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) a organisé les 21 et 22 Mai un Séminaire national sur le développement des Centres d'appui à la technologie et à l'innovation en coopération avec l’Institut National Algérien de la Propriété Industrielle (INAPI).
Ce séminaire a regroupé plus de 60 coordinateurs de CATI venant de différentes Wilayas. Il a été l’occasion de familiariser davantage les responsables des CATI avec l’Infrastructure mondiale de propriété intellectuelle et, en particulier, l’accès aux ressources brevet et non-brevet et aux publications relatives à la propriété intellectuelle, d’une part, et la formation à la recherche dans les bases de données, d’autre part.
En effet un grand nombre de chercheurs et d’inventeurs, dans tous les pays en développement, ne sont pas conscients de l’importance ou parfois même de l’existence de l’information en matière de brevets et d’innovation. Et, parmi ceux qui en sont conscients, certains ne savent pas toujours comment l’utiliser avec efficacité.
C’est pourquoi l’OMPI a lancé les CATI qui visent principalement à permettre aux inventeurs, aux chercheurs et aux entrepreneurs d’avoir accès à l’information scientifique et technique de qualité et d’autres services connexes. Ces Centres jouent ainsi un rôle important dans le renforcement de l’écosystème de l’innovation, en promouvant l’innovation et le transfert de technologie.
Car ils facilitent l’accès des innovateurs et créateurs locaux aux informations techniques, à la littérature scientifique et technique et aux bases de données de brevets.
L’Algérie dispose du plus large réseau de CATI en Afrique et, au moment où la diversification économique est au cœur des orientations nationales, l’éventail de services offerts par ces Centres est très utile aux chercheurs et inventeurs et aux Petites et Moyennes Entreprises et Startups.
Ces services peuvent les aider à exploiter pleinement leur potentiel d’innovation et à contribuer davantage au développement technique et économique. Les CATI sont une passerelle vers le réservoir de connaissances scientifiques et techniques contenues dans l’Infrastructure mondiale de propriété intellectuelle et peuvent donc renforcer le savoir-faire local permettant d’utiliser l’information contenue dans ces bases de données sur la propriété intellectuelle et de tirer parti de sa valeur. Ainsi les innovateurs et créateurs exploitent avec efficience les connaissances disponibles et développent aisément le savoir-faire permettant de transformer leurs idées en produits commerciaux qui répondent aux besoins de la société.
Ce séminaire a été ouvert par M. Mohamed Saleck AHMED ETHMANE, Directeur du Bureau extérieur de l’OMPI en Algérie, et Mme Farida BENZADI, Directrice de la Qualité et de la Propriété industrielle au Ministère de l'Industrie et de la Production Pharmaceutique.
Des déclarations liminaires ont également été faites par MM. Abdelhafid BELMEHDI, Directeur General de l’INAPI, et Andrew CZAJKOWSKI, Directeur de Division de l'appui à l'innovation et à la technologie à l’OMPI.
Les travaux ont été animés par plusieurs experts de l’INAPI et de l’OMPI.
1 / 5

Histoire
11 mai 2023
« Youth 4 impact » un programme pour le renforcement de la résilience des jeunes face aux drogues,à la violence et à la criminalité
10 Mai 2023 - Le Gouvernement Algérien, à travers le Ministère des Affaires Etrangères et de la Communauté Nationale à L’Etranger, et l’Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime (ONUDC) ont lancé officiellement le programme régional "Youth 4 Impact" en Algérie. L'objectif du programme est de renforcer la résilience des jeunes hommes et femmes, contre la drogue, la violence et la criminalité.
La cérémonie de lancement du programme "Youth 4 Impact" a été présidée par Mme Terkia Nasri, sous-directrice de la Sécurité et du Désarmement au Ministère des Affaires étrangères et de la Communauté Nationale à l'Etranger, en présence de représentants du Ministère de la Justice, le Ministère de la Jeunesse et des Sports, Ministère de l’Education Nationale, la Direction Générale de la Sûreté Nationale et l’Office National de Lutte Contre la Drogue et la Toxicomanie.
Mme Samia Chouchane, Cheffe du bureau de l'ONUDC en Algérie, a rappelé dans son discours d'ouverture qu’il est « essentiel d’assurer un développement positif centré sur les jeunes ».
Ce programme sera un catalyseur important pour atteindre les objectifs de développement durable à l’horizon 2030 en Algérie, en particulier en ce qui concerne la promotion de sociétés pacifiques et durables, a-elle souligné.
Mme Chouchane a également réitéré ses remerciements au gouvernement algérien pour leur soutien considérable dans la préparation et le lancement de ce programme, et a également salué les efforts consentis par les collègues de l’ONUDC au niveau régional, et notamment M. Khaldoun Oweis, Coordonnateur Régional du Programme « Youth 4 Impact » pour l’appui et l’expertise apportés, ainsi que le Ministère Allemand de la Coopération Economique et du Développement (BMZ) pour le soutien de cette initiative régionale.
De son côté, le Conseiller Politique de l’Ambassade d’Allemagne, M.Tobias Hübler, a rappelé l’engagement de son pays à soutenir les jeunes et les outillant des moyens nécessaires pour devenir des agents du changement dans la lutte contre les drogues, la violence et la criminalité.
À la suite du lancement, la mise en œuvre du programme a commencé avec la mise en œuvre immédiate de (04) quatre ateliers de trois jours chacun de la formation « Line up ! Live Up ! », au profit de 120 professionnels issus du Ministère de la Jeunesse et des Sports, le Ministère de la Justice, le Ministère de l’Education Nationale, la Direction Générale de la Sûreté Nationale et l’Office National de Lutte contre la Drogue et la Toxicomanie, afin de renforcer leurs capacités à mettre en œuvre des activités sportives et des compétences de vie pour la prévention de la criminalité et de la consommation de drogues chez les jeunes.
Le programme est mis en œuvre avec le soutien du ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) et s’articule autour de trois (03) résultats principaux :
Renforcer les cadres juridiques, politiques et institutionnels pour la prévention de la drogue et de la criminalité chez les jeunes ;
Renforcer la réponse des systèmes et secteurs pertinents aux besoins des jeunes vulnérables et à risque ainsi que de leurs familles ;
Autonomiser les jeunes pour renforcer leur résilience.
Il est important de rappeler que le programme a déjà été mis en œuvre avec succès dans un certain nombre de pays du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord (région MENA), notamment en Égypte, au Liban, en Libye, en Palestine et au Soudan, et a eu un impact positif sur la vie de 34 414 personnes dans la région en 2022.
Le programme "Youth 4 Impact" s’inscrit dans la stratégie 2021-2025 de l'ONUDC, qui met l'accent sur l'autonomisation des jeunes en tant qu'approche transversale, en travaillant "pour les jeunes" et "avec les jeunes" pour permettre la cocréation. Il est également en droite ligne avec le Cadre régional de l'ONUDC pour les États arabes 2023-2028, qui reconnaît les jeunes comme l'un des principaux accélérateurs pour renforcer la prévention de la criminalité/violence et la justice pénale. Ce programme est un levier essentiel dans l’atteinte des Objectifs de Développement Durable 2030 en Algérie, notamment la promotion de sociétés pacifiques et durables.
1 / 5
Communiqué de presse
23 août 2022
FACE A LA HAUSSE DES PRIX DES DENREES ALIMENTAIRES ET L’URGENCE DE LA SITUATION, L'ÉQUIPE DES NATIONS UNIES EN ALGÉRIE APPELLE AU SOUTIEN AUX RÉFUGIÉS SAHRAOUIS
Alger, 24 août 2022 – Confrontée à une situation nutritionnelle dégradée dans les camps de réfugiés sahraouis avec une réduction de plus de 75 % des rations alimentaires, l’équipe des Nations Unies en Algérie appelle la communauté internationale à renforcer et accroitre son soutien à l’aide alimentaire et nutritionnelle aux réfugiés sérieusement menacés d’insécurité alimentaire et de malnutrition.
Pendant plus de quatre décennies, le Gouvernement algérien et les donateurs internationaux ont fait preuve d'une solidarité constante avec les réfugiés Sahraouis en fournissant un soutien humanitaire d'une importance vitale et qui doit être reconnu.
Malheureusement, sous la pression des défis mondiaux, ce soutien est désormais insuffisant pour répondre aux besoins actuels. Les fonds nécessaires à la seule assistance alimentaire ont doublé pour atteindre 39 millions de dollars cette année, contre 19,8 millions de dollars avant le déclenchement de la pandémie.
« L’équipe des Nations Unies et d'autres acteurs humanitaires font face à d'importants déficits de financement provoqués par l’impact de la pandémie de la COVID-19, la hausse mondiale des prix des denrées alimentaires et du carburant qui en a résulté, et les effets de la guerre en Ukraine. Cette situation a profondément affecté tous les secteurs de l'aide humanitaire, entravant de manière inquiétante l’accès des réfugiés à la nourriture, à l'eau, à la santé, à la nutrition, à l'éducation et à d'autres services de subsistance essentiels" a déclaré le Coordonnateur Résident des Nations Unies, Alejandro Alvarez, ajoutant que la solidarité internationale est cruciale pour stopper la détérioration rapide de la situation nutritionnelle dans les camps de réfugiés, et ses effets durables pour la population, en particulier les enfants.
Le HCR, l’agence des Nations Unies pour les réfugiés, le Programme Alimentaire Mondial (PAM) et le Fond des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) sensibilisent activement leurs partenaires sur cette situation. Cependant, ces efforts ne se sont pas, jusqu'à présent, traduits par la mobilisation de ressources additionnelles nécessaires pour répondre aux besoins des réfugiés.
La réduction forcée de 75 % des rations alimentaires mensuelles du PAM est particulièrement inquiétante car elle correspond à moins de la moitié de l'apport calorique quotidien recommandé par personne. Chaque bénéficiaire reçoit désormais moins de 5 kg de ration, contre les 17 kg prévus par personne et par mois. Les résultats préliminaires de la mission d'évaluation conjointe et de l'enquête sur la nutrition menées il y a six mois révèlent également une dégradation de de la situation nutritionnelle et une augmentation de la prévalence de l'émaciation potentiellement mortelle chez les enfants âgés de 6 à 59 mois, qui passe de 7,6 % en 2019 à 10,7 % en 2022. La moitié des enfants âgés de 6 à 59 mois sont anémiques, un enfant sur trois souffre d'un retard de croissance et seulement un enfant sur trois reçoit le régime alimentaire diversifié minimum dont il a besoin pour grandir et se développer sainement.
Les camps de réfugiés situés près de la ville de Tindouf, dans l'ouest de l'Algérie, accueillent depuis 47 ans des femmes, des enfants et des hommes principalement dépendant de l'aide humanitaire pour leurs besoins alimentaires et leurs moyens de subsistance. La solidarité de la communauté internationale est impérative pour assurer immédiatement la protection des réfugiés et prévenir les graves conséquences que peut entraîner l'insécurité alimentaire.
Le système des Nations Unies en Algérie appelle la communauté internationale à renouveler ses efforts et à fournir un soutien supplémentaire rapide pour apporter une réponse appropriée à cette urgence.
Fin
CONTACTS MEDIA
Amine Roukhi, Alger, Algerie amine.roukhi@un.org
Communication Officer
@UNAlgeria
******************************
Eunice Ohanusi, Tindouf Algérie, ohanusie@unhcr.org
Marina Villuendas, Alger Algérie, villuend@unhcr.org
Abdel Halim O. A. Elfaki, Représentant a.i, elfaki@unhcr.org
@Refugees @unhcralgeria
*****************************
Abderezak Bouhaceine, abderezak.bouhaceine@wfp.org
Imed Khanfir, Représentant, imed.khanfir@wfp.org
@WFP @WFP_MENA
***************************
Bilel Santara, Algiers, Algeria, bsantara@unicef.org
Souraya Hassan, Représentante a.i sohassan@unicef.org@UNICEF
@UNICEFAlgerie
Consulter ci dessous le communiqué de presse dans d'autres langues : Arabe, Anglais et Espagnol.
1 / 5
Communiqué de presse
02 décembre 2021
Réponse aux violences faites aux femmes en Algérie : acquis, bonnes pratiques et défis concrets en matière de coordination multisectorielle - Note d'information
La campagne des 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre se tient annuellement du 25 novembre au 10 décembre. Elle a pour objectif de rappeler l’importance d’une action coordonnée contre les violences faites aux femmes et aux filles et à mettre en lumière l’importance de la prévention en vue d’éliminer ces violences.
Dans ce cadre, l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) organise, sous les auspices du Gouvernement Algérien, une rencontre conjointe sur l’importance de la coordination multisectorielle des institutions nationales œuvrant à prévenir et lutter contre les violences faites aux femmes et aux filles, le 2 décembre 2021, à 9 heures. La réunion à l’hôtel El Djazair à partir de 09h00.
La rencontre s’inscrit dans le cadre du projet conjoint d’Appui aux efforts de l’Algérie contre les violences faites aux femmes et aux filles, mis en œuvre par l’ONUDC et le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) en partenariat avec l’ambassade du Royaume des Pays-Bas.
Cette journée multisectorielle a pour objectif de souligner les acquis et défis dans la prévention et l’élimination de ces violences, toute en mettant en lumière les leçons apprises, les défis et recommandations possibles à l’intention des acteurs en charge de la réponse contre les violences et la protection des victimes en Algérie.
Plus précisément, il s’agira de :
1/ Souligner l’importance des interventions nationales contre les violences faites aux femmes et aux filles ;
2/ Rappeler le cadre juridique national et les mécanismes de protection et d’assistance des victimes ;
3/ Mettre en lumière l’importance d’une démarche multisectorielle impliquant l’ensemble des intervenants institutionnelles en vue d’apporter une réponse coordonnée contre les violences et en matière de protection et l’assistance des femmes et filles victimes de violences.
Cette journée réunira des intervenants de différents secteurs : Ministère de la Défense et de la Gendarmerie nationale ;
Ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales et de la Direction Générale de la Sureté Nationale ;
Ministère de la Justice ;
Ministère de la Solidarité Nationale, de la Famille et de la Condition de la femme ;
Ministère des Affaires religieuses et des Wakfs ;
Ministère de la Santé ;
Ministère de la Communication ;
Le Conseil National Economique Social et Environnemental (CNESE) ;
Organe national de protection et de promotion de l’enfance (ONPPE).
La rencontre sera sanctionnée par un document synthétique de recommandations pratiques visant à soutenir la mise en place d’un réseau national multisectoriel d’orientation des victimes de violences basées sur le genre.
1 / 5
Communiqué de presse
03 novembre 2021
Discours du Coordonnateur de l'ONU, Alejandro Alvarez, à l'occasion de la Journée des Nations Unie et le 21ème anniversaire de la résolution 1325
76 ans après l’entrée en vigueur de sa Charte, nous célébrons la Journée des Nations Unies dans un contexte de crise sanitaire, d’urgence climatique, d’inégalités qui se creusent, et de nouveaux risques pour la paix et la sécurité internationales.
Nous commémorons aujourd’hui deux dates d’importance majeure pour l’Organisation des Nations Unies et ses Etats membres : la Journée des Nations Unies marque l’anniversaire de l'entrée en vigueur de la Charte fondatrice de l’organisation des Nations Unies le 24 octobre 1945, et le 21ème anniversaire de la résolution 1325 « Femmes, Paix et Sécurité ».
Consulter le texte intégral du discours ci-dessous :
1 / 5
Communiqué de presse
08 novembre 2021
Le HCR organise une formation sur le système international de protection des réfugiés pour les magistrats en Algérie
Lors de son lancement le 2 novembre, le représentant du HCR en Algérie, Agostino Mulas, a transmis au directeur de l'école des procureurs, la volonté du Bureau d'établir de nouveaux moyens de collaboration, y compris de telles formations sur la protection internationale.
L'atelier interactif de deux jours, qui a lieu les 2 et 3 novembre à Alger, fait partie de l'initiative du HCR visant à renforcer les capacités en matière de droit international des réfugiés et son application pratique en Algérie, pour les acteurs nationaux algériens qui jouent un rôle dans la protection des réfugiés. Cette formation sera suivie d'ateliers pour les procureurs et les juges en Algérie, qui auront lieu les 7 et 8 novembre à Oran et les 15 et 16 novembre à El Oued.
Ces séries de formations sont réalisées avec le soutien et le financement du Programme Régional de Développement et de Protection pour l'Afrique du Nord (RDPP NA) en Algérie de l’Union Européenne, à travers le gouvernement italien.
POUR PLUS D'INFORMATIONS, VEUILLEZ CONTACTER :
Faiza Bentouil Hamache, Assistant Protection Officer Algiers -bentouil@unhcr.rog
Marina Villuendas, Associate Reporting Officer - Algeria - villuend@unhcr.org
1 / 5
Communiqué de presse
29 octobre 2021
Glasgow : le monde à l’épreuve de l’urgence climatique / Par António Guterres
La crise climatique représente une alerte rouge pour l’humanité.
Les dirigeants du monde seront bientôt mis à l’épreuve à Glasgow lors de la conférence des Nations Unies sur le climat, connue sous le nom de COP26.
Leur action – ou leur inaction – démontrera leur sérieux face à cette urgence planétaire.
Il est difficile de ne pas voir les signes d’avertissement : partout, les températures atteignent de nouveaux sommets ; la biodiversité est à son plus bas niveau ; les océans se réchauffent, s’acidifient et étouffent sous les déchets plastiques. D’ici la fin du siècle, la hausse des températures rendra invivables de vastes étendues de notre planète.
La très respectée revue médicale The Lancet a récemment décrit les changements climatiques comme l’élément le plus déterminant pour la santé humaine dans les années à venir, annonçant une crise à grande échelle marquée par la faim, des maladies respiratoires, des catastrophes meurtrières et des épidémies de maladies infectieuses peut-être pires encore que la COVID-19.
Ces sonnettes d’alarme sont assourdissantes. Et pourtant, les derniers rapports de l’Organisation des Nations Unies nous apportent de nouvelles preuves que les mesures prises jusqu’à présent par les gouvernements ne sont tout simplement pas à la hauteur de ce dont le monde a si désespérément besoin.
Les annonces récentes en faveur de l’action climatique sont certes bienvenues et essentielles, mais ne suffiront pas : malgré cela, notre monde sur la voie d’un réchauffement désastreux bien supérieur à 2 degrés Celsius.
Nous sommes bien loin de l’objectif de 1,5 degré que le monde s’est engagé à atteindre dans l’Accord de Paris. Objectif dont la science nous dit qu’il est la seule solution viable pour notre planète.
Et qui est tout à fait réalisable.
Si nous pouvons au cours de cette décennie réduire les émissions mondiales de 45 % par rapport aux niveaux de 2010.
Si nous parvenons à l’objectif mondial de zéro émission nette d’ici à 2050.
Et si les dirigeants du monde se rendent à Glasgow avec des objectifs audacieux, ambitieux et vérifiables pour 2030, et avec de nouvelles mesures concrètes pour conjurer cette catastrophe.
Les dirigeants du G20 – en particulier – doivent tenir leurs promesses.
Le temps des subtilités diplomatiques est révolu.
Si les gouvernements – en particulier ceux du G20 – n’agissent pas et ne prennent pas la tête de cet effort, l’humanité s’achemine tout droit vers de terribles souffrances.
Mais tous les pays doivent prendre conscience que le modèle de développement traditionnel fondé sur la combustion de carbone signe un arrêt de mort pour leurs économies et pour notre planète.
Nous devons décarboniser dès maintenant, dans tous les secteurs et dans tous les pays. Subventionner non plus les combustibles fossiles mais les énergies renouvelables. Taxer la pollution et non les populations. Imposer les émissions de carbone et réinvestir les fonds dans des infrastructures et des emplois résilients.
Et nous devons abandonner progressivement le charbon – d’ici à 2030 dans les pays de l’OCDE et d’ici à 2040 dans tous les autres. Les gouvernements sont de plus en plus nombreux à prendre l’engagement de ne plus financer le charbon – et le secteur privé doit faire de même, de toute urgence.
Les citoyens attendent – à juste titre – de leurs gouvernements qu’ils montrent la voie. Mais il incombe à chacune et chacun d’entre nous de préserver notre avenir collectif.
Les entreprises doivent réduire leur impact sur le climat et prendre des mesures crédibles pour que leurs activités et leurs flux financiers soient pleinement compatibles avec un avenir à zéro émission nette. L’heure n’est plus aux excuses ou à l’écoblanchiment.
Il est indispensable que les investisseurs – publics comme privés – en fassent de même. Ils doivent se rallier à des initiatives précurseurs telles que la « Net-Zero Asset Owner Alliance » et la caisse des pensions du personnel des Nations Unies, qui a atteint et même dépassé ses objectifs en matière de réduction de l’empreinte carbone de ses investissements avant la date prévue, affichant une baisse de 32 % en 2021.
Dans toutes les sociétés, les citoyens doivent faire des choix plus judicieux et plus responsables, qu’il s’agisse de leur alimentation, de leurs déplacements ou de leurs achats.
Les jeunes – et les militants pour le climat – doivent poursuivre sur leur lancée : exiger des actes de la part de leurs dirigeants et leur demander des comptes.
À tous les niveaux, la solidarité mondiale est nécessaire pour aider tous les pays à opérer cette transition. Les pays en développement sont en proie à des crises de la dette et des liquidités. Il faut les soutenir.
Les banques de développement publiques et multilatérales doivent élargir considérablement leurs portefeuilles d’investissements climat et redoubler d’efforts pour aider les pays à bâtir des économies résilientes et conformes à l’objectif de zéro émission nette. Et le monde développé doit de toute urgence honorer son engagement de consacrer au moins 100 milliards de dollars par an au financement de l’action climatique dans les pays en développement.
Les donateurs et les banques multilatérales de développement doivent faire en sorte qu’au moins la moitié des montants qu’ils versent pour le climat soient consacrés à l’adaptation et à la résilience.
L’Organisation des Nations Unies a été créée il y a 76 ans pour que les États agissent dans le consensus face aux plus grandes menaces qui pèsent sur l’humanité. Mais nous avons rarement eu à affronter une crise comme celle-ci : une crise véritablement existentielle que nous devons surmonter pour préserver non seulement notre génération mais également les générations futures.
Nous n’avons pas d’autre choix. Un avenir où l’augmentation de la température ne dépasse pas 1,5 degré Celsius est le seul avenir viable pour l’humanité.
Les dirigeants doivent s’atteler à la tâche à Glasgow, avant qu’il ne soit trop tard.
António Guterres est le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies
1 / 5
Dernières ressources publiées
1 / 11
Ressources
22 mars 2023
Ressources
07 novembre 2022
Ressources
23 juin 2021
1 / 11