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15 mai 2022
Formation de formateurs pour les agents pénitentiaires en Libye, allocution du RC
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10 avril 2022
Notre planète, notre santé : Bien- être et santé pour tous
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Histoire
07 avril 2022
Les Family Field School s’invitent à Alger
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Les objectifs de développement durable en Algérie
Les objectifs de développement durable (ODD), également appelés objectifs mondiaux, constituent un appel universel à l'action visant à éliminer la pauvreté, à protéger la planète et à garantir à tous les peuples la paix et la prospérité. Ce sont aussi les objectifs de l'ONU en Algérie.
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08 mars 2022
Soutenir les idées innovantes des jeunes entrepreneur.e.s pour les aider à contribuer aux changements durables dans leurs communautés : l’histoire de Yasmine et son engagement pour la protection de l’environnement
Le projet vise à améliorer les capacités des institutions locales à mieux soutenir les activités génératrices de revenus à fort impact social et environnemental
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Agir
08 mars 2022
Bénéficiaires du Projet Women for Growth de l’OIT, Madame Rachida Krim, ou comment transformer des déchets en richesses
Le Projet « Women For Growth », financé par l’US Department of State’s Office for Global Women’s Issues, mis en œuvre par l’Organisation Internationale de Travail (OIT) de 2015 a 2017, avec pour objectif d’appuyer la promotion et le développement de l’entreprenariat féminin en Algerie et au Maroc
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Agir
08 mars 2022
Soundous Tebbakh, 14 ans et bénévole dans le projet "Vous êtes la solution" par SDH en partenariat avec UNICEF Algérie
Soundous Tebbakh est une étudiante de 14 ans, membre actif de l’association Santé Sidi El Houari (SDH) d’Oran et bénévole dans le projet "Vous êtes la solution" par SDH en partenariat avec UNICEF Algérie.
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07 mars 2022
Promouvoir l’autonomisation économique des femmes rurales à travers la gestion durable des ressources naturelles
Le projet«gestion intégrée des zones humides de Guerbes-Sanhadja» veut encourager l'autonomisation économique des femmes dans la région rurale de Skikda.
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Agir
08 mars 2022
Samia Bouzid, professeure de physique, a développé à elle-seule une distillerie d’huiles essentielles.
Une reconversion tout à fait naturelle pour cette femme qui a toute sa vie été au contact de la forêt.
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Histoire
10 avril 2022
Notre planète, notre santé : Bien- être et santé pour tous
La célébration officielle de la journée mondiale de la santé, le jeudi 07 AVril 2022, a été réhaussée par la participation du Ministre de la santé, du Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique et des représentants des différents secteurs chargés de : l’environnement, de la pêche, du transport, des affaires religieuses, du commerce, de la solidarité, de la communication et de l’intérieur et des collectivités locales et de l’urbanisation. La société civile était représentée également et des Représentants des Agences du Système des Nations Unies : le Coordonnateur Résident, PNUD, UNFPA, UNICEF et OMS.
L’engagement de l’Algérie d’assoir l’alliance stratégique santé environnement a été réitéré à cette occasion afin de "permettre à tous de vivre en bonne santé et de promouvoir le bien-être". Notre planète notre santé ; bien être et santé dans un environnement sain tel a été le slogan de cette journée.
Lors de son intervention, le Ministre de la santé Pr A. Benbouzid a rappelé « l’enjeu vital de la préservation de l’environnement sur le développement durable, a d’une part souscrit aux divers engagements internationaux notamment la souscription à la Déclaration de Libreville en 2008 qui s’est traduit par l’élaboration d’un plan d’action conjointe santé-environnement et d’autre part œuvre à l’intégration de la dimension environnementale dans l’ensemble des stratégies et programmes nationaux de santé ».
De son côté, le Représentant de l’OMS en Algérie Dr. H Nouhou a livré le message de la Directrice régionale de l'OMS pour l'Afrique, Dr Matshidiso MOETI, qui a rappelé qu’en vertu de la déclaration de Libreville « l’OMS dans la Région africaine apporte un appui aux États Membres pour qu’ils puissent réaliser des évaluations de la vulnérabilité, de la situation et des besoins en matière de santé et pour qu’ils puissent élaborer des plans nationaux d’adaptation de la santé. Nous prêtons également un accompagnement aux pays pour qu’ils puissent soumettre à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques leurs plans nationaux d’adaptation assortis d’interventions essentielles de santé publique ».
Le Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies en Algérie M Alejandro Alvarez a félicité l’Algérie pour « ses efforts pour maintenir d’abord, puis améliorer l’accès équitable aux soins de santé de qualité. Comme beaucoup d’autres pays, le système de santé algérien devra faire face aux nouveaux défis liés aux conséquences du changement climatique, car le réchauffement climatique et ses effets sont les mêmes pour tous indépendamment du niveau d’industrialisation » a-t-il souligné.
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Histoire
07 avril 2022
Les Family Field School s’invitent à Alger
Sous le slogan « Chaque goutte compte », et dans le contexte hydrique que l’on connaît, ces « classes bleues » destinées aux enfants représentent un moyen ludique de les sensibiliser à l’eau, une ressource rare à protéger et à apprendre à utiliser raisonnablement.
Encadrés par l’équipe FAO Algérie, une trentaine d’enfants ont eu l’opportunité de participer à des Quiz, ateliers de dessin et jeux éducatifs afin d’éveiller leur conscience sur le besoin de préserver cette ressource précieuse qu’est l’eau.
Cette activité a été financée par l’agence Suédoise de développement.
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Histoire
09 mars 2022
L'ONU célèbre la contribution des femmes et des filles à un avenir durable
Faire progresser l’égalité des sexes dans le contexte de la crise climatique et de la réduction des risques de catastrophes est l’un des plus grands défis mondiaux du 21e siècle, a souligné l'ONU à l'occasion de la Journée internationale des femmes.
Il permet d’explorer la façon dont les femmes et les filles mènent la voie en matière d’adaptation, d’atténuation et de réponse aux changements climatiques dans le monde entier, en se transformant en leaders puissantes et porteuses de changement pour un avenir plus durable pour l’ensemble de l’humanité.
Dans son message à l’occasion de la journée, le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a souligné l’importance du rôle des femmes et des filles dans la lutte contre les changements climatiques.
« Nous avons besoin de plus de femmes ministres de l’Environnement, ou Premières ministres, Présidentes et cheffes d’entreprise, a-t-il indiqué. « Elles ont le pouvoir d’inciter les pays à affronter la crise climatique, à créer des emplois verts et à construire un monde plus juste et plus durable. Nous ne pouvons pas sortir de la pandémie en faisant reculer l’horloge de l’égalité des sexes ».
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Histoire
09 mars 2022
Pourquoi les femmes doivent être au cœur de l’action climatique
Les personnes les plus affectées par les changements climatiques aujourd’hui, à savoir les femmes, les filles et les membres des communautés marginalisées, doivent participer à la conception et à la mise en œuvre d’actions de réponse aux changements climatiques afin que les bénéfices soient partagés de manière égale.
Étant donné que les femmes possèdent des connaissances et une expérience uniques, notamment au niveau local, leur inclusion dans les processus décisionnels est essentielle à une action climatique efficace. Une étude réalisée en 2019 a révélé que l’augmentation de la représentation des femmes dans les parlements nationaux conduit à l’adoption de politiques plus strictes en matière de changements climatiques, ce qui entraîne une réduction des émissions. Au niveau local, la participation des femmes à la gestion des ressources naturelles est associée à de meilleurs résultats en matière de gouvernance des ressources et de conservation.
L’élargissement de l’accès des femmes aux ressources productives peut accroître la production agricole et la sécurité alimentaire et également réduire les émissions de dioxyde de carbone. Si toutes les petites exploitantes bénéficiaient d’un accès égal aux ressources productives, leurs rendements agricoles augmenteraient de 20 à 30 pour cent et 100 à 150 millions de personnes ne souffriraient plus de la faim. L’augmentation des rendements agricoles peut atténuer la pression visant au déboisement de davantage de terres, réduisant ainsi les émissions supplémentaires.
En milieu de travail, le leadership des femmes est associé à une transparence accrue en ce qui concerne l’impact climatique. Des pourcentages plus élevés de femmes au sein des conseils d’administration des entreprises indiquent qu’il existe une corrélation positive avec la divulgation des informations sur les émissions de carbone.
Une action collective efficace de lutte contre les changements climatiques exigera de grands changements de cap dans la façon dont nous produisons et mesurons la valeur économique. L’abandon progressif des pratiques extractives et des économies fondées sur les combustibles fossiles offre l’occasion de créer de nouveaux emplois et d’offrir de nouvelles qualifications aux travailleuses. L’augmentation des investissements dans le secteur des soins de santé est un moyen efficace de mettre l’accent sur le bien-être collectif et de renforcer les économies sans augmenter les émissions.
Enfin, la santé et les droits sexuels et reproductifs sont essentiels à l’égalité des sexes dans l’action climatique. En renforçant les systèmes de santé pour répondre à la demande actuelle de services de santé sexuelle et reproductive, les pays pourraient sauvegarder les récents progrès réalisés en matière de conservation de l’environnement et de la biodiversité, d’adaptation au changement et d’amélioration du climat dans les domaines de la santé, de l’éducation et de l’égalité des sexes.
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Histoire
09 mars 2022
Les droits des femmes pour un avenir équitable et durable
Tribune du Coordonnateur résident du Système des Nations Unies en Algérie, Alejandro Alvarez, à l'occasion de la "Journée Jnternationale des Droits des Femmes".
Depuis mon arrivée en Algérie il y a quelques mois, je me suis progressivement imprégné de l’histoire complexe et fascinante de ce pays, et j’ai découvert l’admirable persévérance de sa population et sa volonté de toujours construire un avenir meilleur. En cette occasion de la journée internationale des droits des femmes, il m’est particulièrement important de m’adresser aux algériennes et aux algériens.
J’aimerais commencer par exprimer mon admiration aux femmes et aux jeunes filles algériennes, qui de tout temps, ont joué un rôle crucial dans le processus d’émancipation de la Nation algérienne et de son développement. Aujourd’hui, je voudrais unir ma voix à celle de toute la nation pour rendre hommage à ces femmes qui font l’Algérie.
A l’échelle mondiale, l’urgence climatique et la pandémie de COVID 19 nous ont montré les limites de nos modèles de croissance économique et ont mieux mis en évidence les défis auxquels le monde fait face pour concrétiser l’Agenda 2030 et atteindre les Objectifs de Développement Durable.
L’autonomie des femmes et l’égalité des genres sans lesquels il ne peut y avoir de progrès économique et social et environnemental sont au cœur de ces défis. Non seulement les femmes et les filles sont les premières impactées par les crises qu’elles soient d’ordre économiques, liées à une pandémie ou à l’impact du changement climatique, mais elles sont aussi des acteurs de changement et de solutions aux effets multiplicateurs.
En Algérie, comme ailleurs, il n’est pas étonnant de constater les grands sacrifices des femmes face à la pandémie de COVID-19 en tant que médecin, infirmière, agent de santé publique et travailleuse sociale, ou encore comme mère de famille. Nous retrouvons une fois encore les femmes algériennes qui répondent toujours présentes dans les moments les plus critiques et qui assument toujours davantage de tâches non rémunérées, particulièrement durant les périodes de confinement.
Depuis son indépendance, l’Algérie a réalisé des progrès très importants en faveur des droits des femmes, notamment la scolarisation des filles.
En 2019, le taux de scolarisation au cycle primaire, était de 97,13%[i], sans écart significatif entre les sexes. La proportion de femmes diplômées est aussi importante en Algérie puisqu’elles représentent plus de 60%[ii] des diplômés des universités et le taux de femmes ingénieurs est supérieur à celui de certains pays développés[iii]. Ceci représente un réel avantage comparatif pour le pays dont il faut tirer profit. En dépit de ces résultats, les femmes algériennes restent minoritaires sur le marché du travail. Des défis persistent également en matière de représentation des femmes dans les assemblées élues ainsi qu’en matière d’accès aux postes et fonctions de responsabilité. Le chômage touche 20,4% des femmes en 2019 contre 9% des hommes[iv].
Des mesures en faveur de l’autonomisation des femmes ont été prises et la volonté d’entreprendre des femmes algériennes n’est plus à démontrer (Entre 2019 et 2021, 64% des crédits de l’Agence Nationale de Gestion du Micro-crédit (ANGEM) ont été octroyés à des femmes, contribuant à la création de plus de 97 000 emplois)[v]. Une plus grande adhésion des femmes aux mécanismes d’autonomisation aura certainement un effet d’entrainement et va libérer des énergies et créer des emplois.
Il s’agit également pour l’Algérie de relever le défi de la promotion de valeurs non-discriminatoires et inclusives pour l’égalité des chances à travers notamment l’élimination des violences basées sur le genre (41,7% des femmes âgées de 15 à 49 ans justifient la violence physique d’un mari envers se femmes et 64,6% justifient une violence verbale)[vi]. J’aimerais, en cette occasion, rappeler que les violences basées sur le genre constituent l’une des violations des droits humains les plus répandues, les plus persistantes et les plus dévastatrices dans le monde. L’Algérie a pris d’importantes mesures juridiques pour renforcer la reconnaissance et la criminalisation de ces violences néanmoins les textes de lois rencontrent des difficultés au moment de leur mise en œuvre.
Le Secrétaire General des Nations Unies, M. António Guterres, dans son message adressé pour l’occasion, plaide pour un élargissement des opportunités pour les femmes et les filles afin de « faire gagner toute l’humanité ». Les Nations Unies fondent toute intervention sur le respect indéfectible des droits des personnes qui en ont moins accès.
Les Nations Unies en Algérie continueront à mettre les droits des femmes au cœur de leur partenariat avec l’Etat Algérien comme accélérateur de l’Agenda 2030 pour le développement durable.
Je saisis cette opportunité pour lancer un appel à tous les acteurs nationaux, à tous les niveaux, ainsi qu’à la société civile afin d’unir nos forces pour élargir le champ des opportunités offertes aux femmes et aux filles algériennes, ce qui constitue une condition essentielle d’un avenir commun équitable et durable.
[i] MICS 6
[ii] https://www.aps.dz/sante-science-technologie/74491-hadjar-presente-a-pa…
[iii] “Pour être intelligente, la révolution numérique devra être inclusive ». Rapport de l’UNESCO sur la science 2021.
[iv] Activité, emploi & chômage. ONS, Mai 2019.
[v] Site web: angem.dz
[vi] MICS 6
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Communiqué de presse
02 décembre 2021
Réponse aux violences faites aux femmes en Algérie : acquis, bonnes pratiques et défis concrets en matière de coordination multisectorielle - Note d'information
La campagne des 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre se tient annuellement du 25 novembre au 10 décembre. Elle a pour objectif de rappeler l’importance d’une action coordonnée contre les violences faites aux femmes et aux filles et à mettre en lumière l’importance de la prévention en vue d’éliminer ces violences.
Dans ce cadre, l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) organise, sous les auspices du Gouvernement Algérien, une rencontre conjointe sur l’importance de la coordination multisectorielle des institutions nationales œuvrant à prévenir et lutter contre les violences faites aux femmes et aux filles, le 2 décembre 2021, à 9 heures. La réunion à l’hôtel El Djazair à partir de 09h00.
La rencontre s’inscrit dans le cadre du projet conjoint d’Appui aux efforts de l’Algérie contre les violences faites aux femmes et aux filles, mis en œuvre par l’ONUDC et le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) en partenariat avec l’ambassade du Royaume des Pays-Bas.
Cette journée multisectorielle a pour objectif de souligner les acquis et défis dans la prévention et l’élimination de ces violences, toute en mettant en lumière les leçons apprises, les défis et recommandations possibles à l’intention des acteurs en charge de la réponse contre les violences et la protection des victimes en Algérie.
Plus précisément, il s’agira de :
1/ Souligner l’importance des interventions nationales contre les violences faites aux femmes et aux filles ;
2/ Rappeler le cadre juridique national et les mécanismes de protection et d’assistance des victimes ;
3/ Mettre en lumière l’importance d’une démarche multisectorielle impliquant l’ensemble des intervenants institutionnelles en vue d’apporter une réponse coordonnée contre les violences et en matière de protection et l’assistance des femmes et filles victimes de violences.
Cette journée réunira des intervenants de différents secteurs : Ministère de la Défense et de la Gendarmerie nationale ;
Ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales et de la Direction Générale de la Sureté Nationale ;
Ministère de la Justice ;
Ministère de la Solidarité Nationale, de la Famille et de la Condition de la femme ;
Ministère des Affaires religieuses et des Wakfs ;
Ministère de la Santé ;
Ministère de la Communication ;
Le Conseil National Economique Social et Environnemental (CNESE) ;
Organe national de protection et de promotion de l’enfance (ONPPE).
La rencontre sera sanctionnée par un document synthétique de recommandations pratiques visant à soutenir la mise en place d’un réseau national multisectoriel d’orientation des victimes de violences basées sur le genre.
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Communiqué de presse
08 novembre 2021
Le HCR organise une formation sur le système international de protection des réfugiés pour les magistrats en Algérie
Lors de son lancement le 2 novembre, le représentant du HCR en Algérie, Agostino Mulas, a transmis au directeur de l'école des procureurs, la volonté du Bureau d'établir de nouveaux moyens de collaboration, y compris de telles formations sur la protection internationale.
L'atelier interactif de deux jours, qui a lieu les 2 et 3 novembre à Alger, fait partie de l'initiative du HCR visant à renforcer les capacités en matière de droit international des réfugiés et son application pratique en Algérie, pour les acteurs nationaux algériens qui jouent un rôle dans la protection des réfugiés. Cette formation sera suivie d'ateliers pour les procureurs et les juges en Algérie, qui auront lieu les 7 et 8 novembre à Oran et les 15 et 16 novembre à El Oued.
Ces séries de formations sont réalisées avec le soutien et le financement du Programme Régional de Développement et de Protection pour l'Afrique du Nord (RDPP NA) en Algérie de l’Union Européenne, à travers le gouvernement italien.
POUR PLUS D'INFORMATIONS, VEUILLEZ CONTACTER :
Faiza Bentouil Hamache, Assistant Protection Officer Algiers -bentouil@unhcr.rog
Marina Villuendas, Associate Reporting Officer - Algeria - villuend@unhcr.org
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Communiqué de presse
03 novembre 2021
Discours du Coordonnateur de l'ONU, Alejandro Alvarez, à l'occasion de la Journée des Nations Unie et le 21ème anniversaire de la résolution 1325
76 ans après l’entrée en vigueur de sa Charte, nous célébrons la Journée des Nations Unies dans un contexte de crise sanitaire, d’urgence climatique, d’inégalités qui se creusent, et de nouveaux risques pour la paix et la sécurité internationales.
Nous commémorons aujourd’hui deux dates d’importance majeure pour l’Organisation des Nations Unies et ses Etats membres : la Journée des Nations Unies marque l’anniversaire de l'entrée en vigueur de la Charte fondatrice de l’organisation des Nations Unies le 24 octobre 1945, et le 21ème anniversaire de la résolution 1325 « Femmes, Paix et Sécurité ».
Consulter le texte intégral du discours ci-dessous :
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Communiqué de presse
29 octobre 2021
Glasgow : le monde à l’épreuve de l’urgence climatique / Par António Guterres
La crise climatique représente une alerte rouge pour l’humanité.
Les dirigeants du monde seront bientôt mis à l’épreuve à Glasgow lors de la conférence des Nations Unies sur le climat, connue sous le nom de COP26.
Leur action – ou leur inaction – démontrera leur sérieux face à cette urgence planétaire.
Il est difficile de ne pas voir les signes d’avertissement : partout, les températures atteignent de nouveaux sommets ; la biodiversité est à son plus bas niveau ; les océans se réchauffent, s’acidifient et étouffent sous les déchets plastiques. D’ici la fin du siècle, la hausse des températures rendra invivables de vastes étendues de notre planète.
La très respectée revue médicale The Lancet a récemment décrit les changements climatiques comme l’élément le plus déterminant pour la santé humaine dans les années à venir, annonçant une crise à grande échelle marquée par la faim, des maladies respiratoires, des catastrophes meurtrières et des épidémies de maladies infectieuses peut-être pires encore que la COVID-19.
Ces sonnettes d’alarme sont assourdissantes. Et pourtant, les derniers rapports de l’Organisation des Nations Unies nous apportent de nouvelles preuves que les mesures prises jusqu’à présent par les gouvernements ne sont tout simplement pas à la hauteur de ce dont le monde a si désespérément besoin.
Les annonces récentes en faveur de l’action climatique sont certes bienvenues et essentielles, mais ne suffiront pas : malgré cela, notre monde sur la voie d’un réchauffement désastreux bien supérieur à 2 degrés Celsius.
Nous sommes bien loin de l’objectif de 1,5 degré que le monde s’est engagé à atteindre dans l’Accord de Paris. Objectif dont la science nous dit qu’il est la seule solution viable pour notre planète.
Et qui est tout à fait réalisable.
Si nous pouvons au cours de cette décennie réduire les émissions mondiales de 45 % par rapport aux niveaux de 2010.
Si nous parvenons à l’objectif mondial de zéro émission nette d’ici à 2050.
Et si les dirigeants du monde se rendent à Glasgow avec des objectifs audacieux, ambitieux et vérifiables pour 2030, et avec de nouvelles mesures concrètes pour conjurer cette catastrophe.
Les dirigeants du G20 – en particulier – doivent tenir leurs promesses.
Le temps des subtilités diplomatiques est révolu.
Si les gouvernements – en particulier ceux du G20 – n’agissent pas et ne prennent pas la tête de cet effort, l’humanité s’achemine tout droit vers de terribles souffrances.
Mais tous les pays doivent prendre conscience que le modèle de développement traditionnel fondé sur la combustion de carbone signe un arrêt de mort pour leurs économies et pour notre planète.
Nous devons décarboniser dès maintenant, dans tous les secteurs et dans tous les pays. Subventionner non plus les combustibles fossiles mais les énergies renouvelables. Taxer la pollution et non les populations. Imposer les émissions de carbone et réinvestir les fonds dans des infrastructures et des emplois résilients.
Et nous devons abandonner progressivement le charbon – d’ici à 2030 dans les pays de l’OCDE et d’ici à 2040 dans tous les autres. Les gouvernements sont de plus en plus nombreux à prendre l’engagement de ne plus financer le charbon – et le secteur privé doit faire de même, de toute urgence.
Les citoyens attendent – à juste titre – de leurs gouvernements qu’ils montrent la voie. Mais il incombe à chacune et chacun d’entre nous de préserver notre avenir collectif.
Les entreprises doivent réduire leur impact sur le climat et prendre des mesures crédibles pour que leurs activités et leurs flux financiers soient pleinement compatibles avec un avenir à zéro émission nette. L’heure n’est plus aux excuses ou à l’écoblanchiment.
Il est indispensable que les investisseurs – publics comme privés – en fassent de même. Ils doivent se rallier à des initiatives précurseurs telles que la « Net-Zero Asset Owner Alliance » et la caisse des pensions du personnel des Nations Unies, qui a atteint et même dépassé ses objectifs en matière de réduction de l’empreinte carbone de ses investissements avant la date prévue, affichant une baisse de 32 % en 2021.
Dans toutes les sociétés, les citoyens doivent faire des choix plus judicieux et plus responsables, qu’il s’agisse de leur alimentation, de leurs déplacements ou de leurs achats.
Les jeunes – et les militants pour le climat – doivent poursuivre sur leur lancée : exiger des actes de la part de leurs dirigeants et leur demander des comptes.
À tous les niveaux, la solidarité mondiale est nécessaire pour aider tous les pays à opérer cette transition. Les pays en développement sont en proie à des crises de la dette et des liquidités. Il faut les soutenir.
Les banques de développement publiques et multilatérales doivent élargir considérablement leurs portefeuilles d’investissements climat et redoubler d’efforts pour aider les pays à bâtir des économies résilientes et conformes à l’objectif de zéro émission nette. Et le monde développé doit de toute urgence honorer son engagement de consacrer au moins 100 milliards de dollars par an au financement de l’action climatique dans les pays en développement.
Les donateurs et les banques multilatérales de développement doivent faire en sorte qu’au moins la moitié des montants qu’ils versent pour le climat soient consacrés à l’adaptation et à la résilience.
L’Organisation des Nations Unies a été créée il y a 76 ans pour que les États agissent dans le consensus face aux plus grandes menaces qui pèsent sur l’humanité. Mais nous avons rarement eu à affronter une crise comme celle-ci : une crise véritablement existentielle que nous devons surmonter pour préserver non seulement notre génération mais également les générations futures.
Nous n’avons pas d’autre choix. Un avenir où l’augmentation de la température ne dépasse pas 1,5 degré Celsius est le seul avenir viable pour l’humanité.
Les dirigeants doivent s’atteler à la tâche à Glasgow, avant qu’il ne soit trop tard.
António Guterres est le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies
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Communiqué de presse
29 octobre 2021
MESSAGE DU SG DE L'ONU À L’OCCASION DE LA JOURNÉE DES NATIONS UNIES
Il y a soixante-seize ans était fondée l’Organisation des Nations Unies, porteuse d’espoir pour un monde tout juste sorti des ténèbres d’un conflit catastrophique.
Aujourd’hui, les femmes et les hommes qui composent l’ONU font vivre cet espoir partout sur la planète.
Le COVID-19, les conflits, la faim, la pauvreté et l’urgence climatique nous rappellent que notre monde est loin d’être parfait.
Mais ils montrent aussi clairement que la solidarité est la seule voie possible pour aller de l’avant.
Nous devons agir ensemble pour relever les grands défis auxquels nous sommes confrontés et progresser dans la réalisation des Objectifs de développement durable.
En veillant à ce que chaque personne, partout dans le monde, ait accès aux vaccins contre le COVID-19 le plus rapidement possible.
En protégeant et en faisant respecter les droits et la dignité de tous, en particulier des personnes les plus pauvres et les plus défavorisées, des filles et des femmes, des enfants et des jeunes.
En nous employant à mettre fin aux conflits qui déchirent notre monde.
En prenant des engagements climatiques ambitieux pour sauver notre planète, et en les honorant.
Et en bâtissant une gouvernance mondiale plus inclusive, plus efficace et fonctionnant davantage en réseau, comme détaillé dans mon récent rapport, « Notre Programme commun ».
Les valeurs qui sous-tendent la Charte des Nations Unies depuis 76 ans – la paix, le développement, les droits humains et l’égalité des chances pour tous – n’ont pas de date d’expiration.
À l’occasion de la Journée des Nations Unies, faisons corps autour de ces idéaux et soyons à la hauteur de la promesse, du potentiel et de l’espoir qu’incarne l’ONU.
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